Les signes électriques
L'examen fondamental à pratiquer pour mettre en évidence une spasmophilie est l’électromyogramme (EMG). Bien sûr, d'autres tests électriques ont été pratiqué mais ne montrent pas d'anomalies spécifiques. Par exemple le tracé d'un électroencéphalogramme (EEG) reste normal au repos mais se modifie lors d'une respiration ample et prolongée. Cependant les modifications observées se retrouvent presque autant chez les gens non spasmophiles. Par contre l'EMG va traduire très objectivement les troubles de l'excitabilité neuro-musculaire.
Il existe deux techniques à cet examen.
On peut utiliser une aiguille coaxiale de Bronk contenant des électrodes. Cette aiguille est insérée dans le premier espace interosseux de la main entre le pouce et l'index. Ce sont des électrodes qui vont apprécier l'activité du muscle.
On peut également se servir d'électrodes dites de surface, que l'on va appliquer sur la peau à l'aide de sparadrap, après les avoir enduites de gel conducteur. Nous utiliserons cette technique que nous avons jugée beaucoup moins traumatisante. Ce point nous semble fondamental quand on sait l'importance de n'importe quel stress chez les spasmophiles.
Nous avons le sentiment que beaucoup de diagnostic de spasmophilie étaient portés par excès car les patients stressés par la pose douloureuse de l'aiguille de Bronk étaient très anxieux. Alors que, déjà rassérénés par les électrodes de surface, non traumatisantes, nos patients ne montreront pas d'inquiétude et les résultats sont probablement plus objectifs. Après avoir placé 3 électrodes de surface, non traumatisante, nos patients ne montreront pas d'inquiétude et les résultats sont probablement plus objectifs. Après avoir placé les 3 électrodes sur la peau et le brassard d'un appareil à tension (qui nous servira de garrot dans un deuxième temps) on apprécie l'activité électrique du muscle testé. Pour cela on dispose de différents appareillages et il appartient à chaque médecin d'utiliser celui de son choix car les différentes formes de résultats correspondent en fait à une seule et même entité clinique qu'est la spasmophilie.
Les résultats se présentent soit sous forme de sons, de variation de voltage sur une aiguille, d'un graphe sur un oscilloscope, d'un tracé sur un papier, ou d'une variation chiffrée de l'activité électrique intégrée. Peu importe la forme du résultat, c'est sa signification qui compte pour le diagnostic.
Pour fixer les idées nous décrirons les tracés observés sur un papier millimétré ou sur un oscilloscope. Au repos et chez un sujet normal le tracé est presque plat; lors d'une contraction on observe de multiples ondes simples, sous forme de pics isolés. Chez un sujet spasmophile le graphique du repos est le plus souvent normal mais il peut, dans de très rares cas (2%) présenter une "activité répétitive spontanée" se traduisant sur le papier par des doublets.
Pendant l'épreuve du garrot produisant l'arrêt de la circulation sanguine, on peut observer un tracé très riche en ondes, presque semblable à celui observé lors d'une forte contraction chez un sujet normal.
Sur le plan pratique, l'EMG se déroule en trois temps.
1. - Au repos où l'on apprécie l'activité musculaire spontanée.
2.- On gonfle le brassard de l'appareil à tension un peu au dessus de la tension maxima du patient, pendant 2 ou 3 minutes et non pas 10 minutes, comme on a trop souvent tendance à le faire. C'est alors que l'on risque de rendre positif un examen qui ne l'est pas.
3.- Après la levée du garrot et si l'examen est positif, on peut observer selon l'appareillage utilisé, soit une augmentation du voltage, soit l'apparition de triplets ou de multiplets.
Comme tout examen, l'EMG peut prêter à discussion dans son interprétation. Bien qu'il soit fiable, il ne faut pas donner non plus une valeur spécifique à sa positivité. On ne peut donc pas affirmer une spasmophilie au vu d'un examen électromyographique positif et il faut le discuter en fonction des données cliniques.
En conclusion, si l'EMG reste indispensable à pratiquer chez tout patient dont le diagnostic de spasmophilie reste à faire, il ne constitue néanmoins qu'un examen parmi d'autres et doit toujours être confronté avec les données cliniques. En effet, sa négativité n'exclut pas le diagnostic car, d'une part certains spasmophiles n'ont jamais d'EMG positif, et d'autre part très peu de magnésium suffit pour négativer cet examen. On connait l'importance de l'auto-médication à base de magnésium et le nombre de spécialités en contenant (pansements digestifs et reconstituants).
Comment peut-on imaginer l'EMG? Disons que nous créons chez le patient une sorte de "mini-stress" momentané afin de provoqué localement, par exemple sur le premier muscle interosseux de la main, une hyperexcitabilité. Cette sorte de "miniaturisation" de la spasmophilie ne doit pas faire perdre de vue que le patient est, lui, couramment soumis à cette stimulation de son système nerveux et que ce sont tous les muscles, tous les appareils qui sont quotidiennement stimulés. C'est pour cette raison que les symptômes présentés sont si nombreux.
En conclusion nous pouvons dire que le diagnostic de spasmophilie doit être posé avant tout sur l'interrogatoire et les signes cliniques mais qu'il doit toujours être étayé par un examen électromyographique le moins stressant possible.
Indépendamment des thérapies de dépôt injectables orales ou futures, elles nécessitent des visites médicales afin de prendre des médicaments et de surveiller la sécurité et l’intervention. Si les patients sont traités suffisamment tôt, avant que le système immunitaire ne soit gravement endommagé, l'espérance de vie est proche de la normale tant que le traitement est réussi. Cependant, lorsque les patients arrêtent le traitement, le virus rebondit à des niveaux élevés chez la plupart des patients, parfois associés à une maladie grave parce que j’ai vécu cela et même à un risque accru de décès. Le but de «guérir» est en cours, mais je crois toujours que mon gouvernement a fabriqué des millions de médicaments antirétroviraux au lieu de trouver un traitement. pour le traitement et la surveillance en cours. Les ARV seuls ne peuvent pas guérir le VIH, car parmi les cellules infectées se trouvent des cellules de mémoire CD4 à très longue durée de vie et éventuellement d'autres cellules qui agissent comme des réservoirs à long terme. Le VIH peut se cacher dans ces cellules sans que le système immunitaire du corps ne le détecte. Par conséquent, même lorsque le traitement antirétroviral bloque complètement les cycles ultérieurs d’infection de cellules, les réservoirs qui ont été infectés avant le début du traitement persistent et le VIH rebondit si le traitement est interrompu. «Cure» pourrait signifier une guérison par éradication, ce qui signifie débarrasser complètement le corps du virus réservoir ou une guérison fonctionnelle du VIH, où le VIH peut rester dans les cellules du réservoir mais le rebond à des niveaux élevés est empêché après une interruption du traitement.Dr Itua Herbal Medicine me permet croit qu'il existe un espoir pour les personnes atteintes de la maladie de Parkinson, de la schizophrénie, du cancer du poumon, du cancer du sein, du cancer colo-rectal, du cancer du sang, du cancer de la prostate, de la scoliose, de la fibromyalgie et de la toxicité de la fluoroquinolone
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