lundi 21 juillet 2014

Traitement de la spasmophilie par les oligo-éléments

LES OLIGO-ELEMENTS

Le traitement de la spasmophilie à l'aide des oligo-éléments est une thérapeutique naturelle car les remèdes  utilisés sont retrouvés normalement dans l'organisme et dans notre alimentation.
Mais tout d'abord essayons de définir ce que sont ces substances.
Les oligo-éléments sont présents dans l'organisme en petite ou très petite quantité (oligo), mais nécessaires à la vie et au bon fonctionnement de l'organisme. Ce sont des éléments naturels (ils sont contenus dans notre environnement et notre alimentation) et leur présence est indispensable pour l'activation de plusieurs milliers de réactions biochimiques.
Nous  savons maintenant l'importance de cette dernière précision dans la spasmophilie qui présente une grande quantité de symptômes divers dus à un mauvais contrôle de ces dites réactions ; le magnésium étant un des  oligo-éléments, et non les moindres, utilisé dans le traitement de la spasmophilie.
Historiquement, bien que les oligo-éléments ne soient utilisés que depuis près de 35 ans, certains chercheurs signalent l'existence de très faibles quantités de certains éléments minéraux dans les plantes et chez les animaux. C'est en 1774 que Schule découvre du maganèse dans les cendres des végétaux et Vauquelin en trouve en 1806 dans les cheveux et les os. 
Mais c'est à Gabriel Bertrand que revient le mérite de découvrir le rôle que ce métal joue dans beaucoup de réactions enzymatiques.
L'importance donnée aux oligo-éléments grandit car l'on prouve par la suite la part de ceux-ci en agriculture et en médecine vétérinaire. Il faut attendre en  1932 et les travaux de Jacques Ménétrier sur les différents "terrains" pour envisager les possibilités des oligo-éléments en médecine humaine. 
Petit à petit plusieurs notions se font jour: " la réceptivité aux maladies " dépend du terrain du malade, cette réceptivité est en rapport avec les échanges organiques, elle peut évoluer avec l'ancienneté de la maladie, l'âge ou la suite de certains facteurs extérieurs; il est possible de modifier cette évolution en agissant sur les échanges organiques; mais surtout on peut influencer ces échanges organiques grâce à certains oligo-éléments teks que le maganèse, le cuivre, l'or, l'argent, le colbat, le zinc, le nickel,...
En quoi ces oligo-éléments vont-ils nous être utiles dans le traitement de la spasmophilie?
 Il faut d'abord avoir à l'esprit que la spasmophilie est une maladie fonctionnelle par excellence où le lésionnel n'existe pratiquement pas. Cependant il ne faut pas tomber dans l'excès inverse et dire que ce qui est fonctionnel n'est pas psychique. D'ailleurs J. Ménétrier préfère parler de " maladie des fonctions ". H.P. Klotz l'avait d'ailleurs suivi sur ce plan  en  écrivant :
" ... le trouble fonctionnel ; c'est-à-dire le trouble du fonctionnement d'un organe non profondément lésé, exige pour se produire, des anomalies moléculaires, en somme une série de manifestations organiques; il mérite d'autant plus d'être pris en considération qu'il est fréquent et qu'à en ignorer la nature, on assure sa pérennité".
On pourrait inscrire les malades de la série "fonctionnelle" entre ceux qui présentent une maladie organique peu accessible aux oligo-éléments, et ceux qui présentent une symptomatologie sans substratum lésionnel apparent. Les spasmophiles répondent bien à cette catégorie de fonctionnels car il s'agit de malades  présentant à la fois des  troubles fonctionnels et des  atteintes organiques mais qui sont encore capables de réagir favorablement ; ils sont susceptibles de guérir ou, tout au moins, de retrouver en même temps une amélioration notable et des capacités socio- professionnelles normales.
J. Sal considère cette catégorie, située entre les maladies très graves et les maladies fonctionelles pures, comme une "zone de réversibilité". Cette zone est estrêmement large et englobe toutes les affections, qu'elle qu'en soit la classification nosologique, du moment qu'elles se trouvent encore à un stade réversible.
Le domaine d'action des oligo-éléments catalyseurs se situe donc dans les affections sans substratum anatomique et celles se situant dans la zone de réversibilité.
Comme nous l'avons laissé entendre pour l'homéopathie, les oligo-éléments ne sont pas utilisés seuls dans le traitement de la spasmophilie. Des associations thérapeutiques sont le plus souvent nécessaires et d'ailleurs efficacement synergiques, c'est-à-dire agissant encore mieux que si elles étaient utilisées seules. Il y a donc multiplication et non addition des effets.
Lorsque nous voulons traiter un spasmophile avec un ou plusieurs oligo-éléments il faut, si l'on veut traiter professionnellement et solidement, trouver dans quelle "diathèse" il se  trouve.
Pour fixer les idées, disons que la "diathèse est le nom sous lequel on désigne un ensemble d'affections atteignant simultanément ou successivement un même sujet, affections différant par leur siège anatomique et leurs symptômes cliniques, mais supposé de nature identique". D'une façon plus concise disons que la diathèse est comprise comme une " disposition morbide " qui détermone chez le sujet qui la présente, un ensemble de caractéristiques cliniques et biologiques ainsi qu'un comportement physique et psychique bien particulier.
En dehors des caractéristiques génétiques   et biochimiques on peut envisager le classement des diathèses selon les critères clinique, physique et psychique.
La spasmophilie ne se classe spécifiquement dans aucune de ces diathèses et c'est pourquoi un patient ou une patiente atteints de cette affection devront être soigneusement interrogés.
Voyons les 4 principales diathèses auxquelles on rajoute un syndrome dit de désadaptation. Nous verrons dans ces descriptions qu'existent dans chacune  de ces diathèses des symptômes faisaint partie du cortège spasmophilique.

     _ La diathèse I ( Allergique ou arthritique ). Les éléments les plus importants sont les suivants :
- Troubles de la séries allergiques : migraines; urticaires; rhinites  allergiques; asthme allergique; eczéma.
- Symptômes  rhumatologiques. Arthrites douloureuses parfois aiguës, peu déformantes, récidivantes; névralgies essentielles.
- Troubles cardio-vasculaires: parlpitations, douleurs précordiales (types "point au coeur"); tachycardie émotionelle.
- Troubles génitaux: hyperménorrhée ou  dysménorrhée.
- Comportement physique: asthénie paradoxale du matin mais aussi asthénie  améliorée par l'activité ou même l'effort physique,  particulièrement au grand air.
- Comportement intellectuel et psychologique: troubles  de la mémoire; nervosisme mais dynamisme et optimisme; esprit d'entreprise; émotivité.

 _ La diathèse II (Hyposthénique). Elle est caractérisée par une fragilité générale, un manque de résistance aux efforts physiques ou intellectuels. On retrouve là, trait pour trait, des éléments cliniques fondamentaux de la spasmophilie.
- Troubles de type allergique: asthme sur un fond de bronchite chronique.
- Troubles de l'appareil respiratoire: rhinites et rhinopharyngites; bronchites; sinusites; otites.
- Troubles de l'appareil génito-urinaire: cystites; leucorrhées.
- Troubles digestifs: entérocolites; tuberculose.
- Comportement physique: asthénie vespérale (du soir); fatigabilité physique.
- Comportement intellectuel et psychologique: pessimisme; instabilité.

  _ La diathèse III (Dystonique): C'est une diathèse secondaire, elle résulte d'un "vieillissement" d'une des deux autres.
- Troubles allergiques: certains eczémas, certains coryzas spasmodiques.
- Troubles rhumatologiques: goutte, arthrose.
- Symptômes cardio-vasculaires: sensation d'oppression thoracique; douleurs précordiales de type angineux; instabilité tensionnelle avec hypertension fréquente mais labile; troubles circulatoires tels hémorroïdes, varices, jambes lourdes.
- Troubles génitaux: hyperménhorées, fibromes utérins.
- Troubles digestifs: gastrite, ulcère.
- Comportement intellectuel et psychologique: hyperémotivité; tendance à amplifier l'importance des soucis; angoisses; pleurs spasmodiques; certaines névroses.

  _ La  diathèse IV (Anergique): les sujets qui font partie de cette diathèse sont des sujets qui se défendent mal contre toute attaque (microbienne ou psychologique). A l'instar de la diathèse II vue plus haut, cette diathèse IV nous reporte aisément vers les symptômes dus à la fatigue du spasmophile. Quant à l'attaque que nous venons d'évoquer, il nous faut tout simplement la comparer au "stress" que nous avons fréquemment évoqué.
- Troubles allergiques: eczémas infectés.
- Troubles rhumatologiques: arthrose, rhumatismes évolutifs.
- Troubles digestifs: recto-colites; fistules.
 - Syndromes infectieux: collections purulentes ORL; staphylococcies; tuberculose aiguë.
- Comportement physique: asthénie globale; baisse de la vitalité.
- Comportement psychologique: désintérêt global, désir de solitude.

_ Le syndrome de désadaptation. On ne le considère pas comme une vrai diathèse. Il peut, soit se reporter à l'une des diathèses  précédentes, soit être provoqué par un stress quelconque. Ce syndrome accompagne des perturbations hypophyso-pancréatiques, hypophyso-surréaliennes ou gonadiques.
On trouve par exemple:
_ Une  asthénie cyclique, des crises  hypoglycémiques, une  aérogastrie, une aérocolie, des  troubles du rythme menstruel.
La description non exhaustive de ses diathèses montre l'existence de plusieurs symptômes et syndromes rencontrés au cours de la spasmophilie. Du fait qu'ils appartiennent à plusieurs diathèses, on voit l'intérêt de l'interrogatoire lorsqu'on a affaire à une spasmophilie.
Il faut toutefois signaler à propos de ces diathèses qu'elles ne sont pas toujours fines et qu'elles peuvent se modifier, varier de l'une à l'autre. Par exemple un sujet de type arthritique (diathèse I) peut devenir hyposthénique (diathèse II) sous l'action d'un surmenage intense. Un stress psychologique pourra transformer un arthritique (I) en dystonique (III) ou anergique (IV).
L'inverse est également vrai sans traitement et on peut par exemple faire "revenir" un sujet à sa diathèse d'origine.
Voyons maintenant quels sont les principaux oligo-éléments utilisés actuellement: aluminium, bismuth, cobalt, cuivre, cuivre-or-argent, fluor, iode, lithium, magnésium, manganèse, manganèse-cobalt, manganèse-cuivre, manganèse-cuivre-cobalt, nickel-cobalt, phosphoren potassium, soufre, zinc, zinc-cuivre, zinc-cuivre-cobalt.
Comme en homéopathie et dans toute les médecine fonctionnelle il faut traiter la malade sur plusieurs niveaux dont celui du terrain, ici diathèse. Voici des correspondances entre les diathèses et les oligo-éléments.
- Diathèse I : manganèse.
- Diathèse II : manganèse-cuivre.
- Diathèse III : manganèse-cobalt.
- Diathèse IV : cuivre-or-argent.

- Diathèse V (désadaptation): zinc-cuivre ou zinc-nickel-cobalt.
Si un patient présente une diathèse complète et nette on peut lui prescrire l'oligo-élément correspondant. Cependant les cas ne sont pas toujours "tranchés" et on a souvent affaire à des formes mixtes; les oligo-éléments seront alors administrés successivement.
Nous verrons plus loin de quelle façon on utilise les oligo-éléments dans la spasmophilie mais nous pensons que c'est ici et maintenant que l'on peut expliquer pourquoi il semble à certains que la spasmophilie est une "maladie à la mode".

Il y aura deux  causes dans l'apparition d'un plus grand nombre de spasmophiles : la meilleure détection et le diagnostic plus précis mais aussi et surtout les décompensations de plus en plus nombreuses résultant des effets des nouvelles civilisations. 
D'une façon plus globale on peut considérer que les responsables chimiques favorisant l'apparition de la spasmophilie sont ce que l'on appelle, les chélateurs. Ces derniers semblent bloquer l'activité des oligo-éléments au cours de leurs interventions dans les réactions enzymatiques.
Jugeons de l'activité et de la modernité des chélateurs lorsqu'on voit qu'il s'agit de la pollution atmosphérique, de la pollution des eaux, de certains médicaments, de pesticides. Toutes les substances de ces nuisances, par chélations progressives et successives, diminuent la vitalité des individus et provoquent la décompensation de spasmophiles qui, sans elles, auraient été des spasmophiles bien portant. A part quelques exceptions ils n'y a pas de carences d'apport des oligo-éléments mais inactivation de certains de ceux-ci par les chélateurs.
Cependant pour le magnésium, on peut, d'une certaine façon parler de carence car l'alimentation devient de plus en plus purifiée et débarrassée de son magnésium. Citons le pain noir, les fèves, le sucre roux... Nos ancêtres n'avaient aucune raison de manquer de magnésium. Ce n'est plus le cas aujourd'hui où hiver comme été nos aliments restent les mêmes, trop sélectionnés, trop civilisés, trop édulcorés. Les viandes sont souvent pauvres en magnésium, les mets sont améliorés et transformés pour notre goût (sucre, pain, sel blancs).


Les principaux oligo-éléments utilisés dans la spasmophilie.


Comme nous l'avons vu plus haut dans ce chapitre, l'interrogatoire d'un malade spasmophile va aboutir à une diathèse. Il est toujours bon de prescrire l'oligo-élément (simple ou composé) comme traitement de sa diathèse (en homéopathie on aurait dit terrain).
Viendront ensuite, selon le contexte clinique les autres oligo-éléments dit complémentaires.
Chez les spasmophiles, la diversité des symptômes nous amène ) prescrire : 
- Le lithium et le manganèse-cobalt dans les syndromes anxiodépressifs.
- Le cuivre-or-argent, dans les cas de fatigues intenses
- Le manganèse-cuivre, dans l'anxiété et sentiments de pessimisme.
- Le lithium, manganèse-cobalt et l'aluminium dans les troubles du sommeil.
- Le phosphore dans certains cas de spasmes vasculaires.
Si nous n'avons pas cités le magnésium, c'est qu'il y a une place à part, considérable dans la spasmophilie car sa prescription devrait être systématique soit sous forme d'oligo-élément proprement dits soit sous une forme pondérale. En tout cas le magnésium est l'élément de base du traitement de la spasmophilie.
Dans ces indications on retrouve bien sûr, et entre autre les symptômes traités par les oligo-éléments complémentaires, mais lui, coordonne les actions des autres substances citées plus haut.
La durée du traitement est, elle aussi, très variable ; elle est surtout modulable. Il faut évaluer la façon dont les signes pathologiques disparaissent. On s'intéressera surtout à la fatigue, l'anxiété, les crampes musculaires et les troubles du sommeil. Ces améliorations sont d'ailleurs vérifiées par l'EMG.
Globalement, lorsqu'on institue un traitement par le magnésium il faut considérer que trois mois sont un minimum et généralement entre un et trois ans sont nécessaires.
La prise la plus facile du magnésium est la voie buccale. On peut l'absorber en une dose unique mais le plus souvent on répartira la dose totale en 2 ou 3 prises. 
Si, comme cela est encore le cas actuellement, du calcium est prescrit en même temps, il vaut mieux, pour éviter la "concurrence" d'absorption, absorber l'un le matin par exemple et l'autre le soir; ou bien faire des cures alternées de plusieurs jours des deux éléments. Le magnésium est en général très bien supporté par l'organisme et ne présente que deux contre-indications: la myasthénie (ou fatigabilité musculaire excessive) et l'insuffisance rénale.
Les effets secondaires proprement dits se limitent à de rares diarrhées liées à une absorption massive de comprimés et, lors d'une injection intraveineuse, à des sensations de chaleur et des impressions de vertiges. Afin d'augmenter l'efficacité d'un traitement par le magnésium, on peut utiliser la vitamine B6 (pyridoxine) qui a pour rôle de faciliter l'absorption digestive et cellulaire du magnésium. La vitamine D quant à elle augmente l'absorption magnésique et agit sur l'équilibre naturel du magnésium-calcium.

Pour tous les oligo-éléments que nous avons cités il existe des préparations commercialisées dont la prise se fait par voie buccale perlinguale. Il faut pour cela vider le contenu d'une ou de deux ampoules, dans la bouche, sans eau, et garder le liquide deux minutes environ avant de l'avaler.
Ces oligo-éléments sont ainsi absorbés directement par les capillaires des muqueuses de la langue et de la bouche.
Il est en effet important que les oligo-éléments ne subissent pas l'attaque des sucs digestifs.
Chez le jeune enfant, après avoir placé le liquide dans une cuillère à café en matière plastique (afin qu'il n'y ait pas de contact avec un autre métal) on le verse sur un morceau de sucre que l'on fait croquer ou sucer par l'enfant.
Le moment le plus propice pour prendre ces médicaments est le matin à jeun. On peut faire suivre la prise d'un premier oligo-élément d'un autre après un intervalle de cinq minutes environ.
Chaque oligo-élément ne nécessite qu'une prise par jour ou même tous les deux ou trois jours. Cependant il faut tenir compte de ces particuliers et savoir qu'on peut être amené à prescrire le même catalyseur à une cadence plus accélérée (par exemple cuivre dans un début de grippe trois à cinq ampoules par jour).
Dès que l'on constate une amélioration et principalement avec les catalyseurs des diathèses, il est possible d'espacer les prises jusqu'à set à quinze jours entre chaque dose. Très souvent, plusieurs oligo-éléments sont nécessaires, on alternera alors les prises des diverses substances. Par exemple: 
- Manganèse les lundi, mercredi et vendredi.
- Zinc, nickel, cobalt, les mardi, jeudi et samedi.
Il y a lieu d'espacer les prises en cas d'amélioration et de cesser le traitement lorsque les troubles ont disparu; en effet les oligo-éléments sont des régulateurs et ne sont donc plus utiles lorsque le dysfonctionnement n'existe plus. Le traitement est d'une durée très variable selon les maladies et les individus. On peut parfois obtenir une guérison après quatre ou cinq prises et ébaucher une amélioration chez un organo-fonctionnel en un an par exemple.
Le traitement par les oligo-éléments est qualificatif et c'est pour cette raison que les doses sont uniques quels que soient l'âge et le poids de l'individu. Ainsi, un homme de 40 ans pesant 70 kg et un enfant de 7 ans pensant 26 kg, tous les deux de diathèse arthritique, absorberont une ampoule le matin à jeun de Manganèse.
Le traitement par les oligo-éléments a, en fait, très peu de contre-indications. Certains catalyseurs n'en ont aucune, d'autres en ont de catégoriques certes mais peu nombreuses; citons le Zinc dans les affections malignes et le Manganèse dans la tuberculose heureusement de plus en plus rare.
L'association avec d'autres thérapeutiques, nous l'avons entrevu plus haut, est possible et parfois souhaitable. Il y a souvent moins de médicaments "classiques" et de traiter à la fois le terrain et la maladie. L'association antibiotiques et oligo-éléments fait souvent merveille car la guérison est plus rapide et les complications et récidives rares. Quant à l'association homéopathique-oligo-éléments elle nous semble non seulement synergique mais aussi logique : traitement du terrain notion de la globalité... Logique aussi est l'association avec l'acupuncture qui la première, a envisagé de traiter le malade en tant qu'individu et non en tant que vecteur d'une maladie; c'est elle également qui à proposé de modifier le terrain du malade et ainsi faire de la prévention.